Biographie de la journaliste Aurélie Casse

Aurélie Casse en décolleté sexy rose

Aurélie Casse avec un décolleté plongeantAurélie Casse est une journaliste française née à Limoux le 14 juin 1986, d'un père mauricien et d'une mère française de métropole. Aujourd'hui encore, elle retourne régulièrement à l'Ile Maurice où elle y a vécu une année et demi quand elle était adolescente.

Aurélie Casse en robe rose sur BFM
Dès son enfance à l'âge de 5 ans, Aurélie Casse s'amuse à jouer à la journaliste avec son petit frère. Sa vocation est toute trouvée. Elle déclare à ce sujet : "Depuis que j’ai cinq, six ans, je jouais à la journaliste avec mon petit frère. On faisait des JT, la météo, les débats, les directs et on enregistrait tout ça. Plus tard, j’ai continué dans cette même voie en faisant un journal papier que j’avais appelé Hello. Il y avait des informations, des dossiers, des enquêtes et même des mots croisés. Je faisais tout moi-même et je vendais le journal aux membres de ma famille". Elle voulait devenir romancière mais elle s'est vite rendu compte que cela demandait énormément de temps, alors que journaliste était peut-être plus accessible et permettait d'écrire sur des formats plus courts.

Aurélie Casse en robe cuir décolletéeAurélie Casse démontre dès son jeune âge beaucoup de facilités à l'école notamment en mathématiques. C'est donc naturellement qu'elle décroche brillamment un bac scientifique puis effectue une première année en classes préparatoires économiques et commerciales, sur conseils de ses professeurs. Malheureusement, elle déteste cette année particulière et décide de se réorienter sur des études de droit. "Ma mère me suggère alors de faire des études de droit et j’ai suivi son conseil. J’aime tellement cette matière que je fais mon Master en droit en pensant que je vais devenir avocat au barreau ou juge d’instruction" déclare-t-elle.


Lors d'une soirée étudiante, elle rencontre le journaliste Victor Robert, de 16 ans son aîné. Cette fois, elle décide de ne pas suivre les conseils de ses professeurs et après son Master en Droit, elle renonce à être avocate. Elle dit à ce propos : "Victor Robert parlait avec tant de conviction et de passion de son métier qu’il m’a fait comprendre que je voulais depuis toujours être journaliste. J’ai fini mon Master et contre l’avis de mes profs, j’ai abandonné le droit pour le journalisme et je suis entrée à l’agence Capa pour faire un stage comme assistante. J’aidais les reporters qui partaient en tournage à organiser leur travail, obtenir les autorisations, trouver les contacts, préparer la documentation. J’ai souvent travaillé pour L’effet Papillon et je voulais apprendre le métier avec l’équipe de Capa et ils m’ont dit que ce n’était pas possible : nous, on est une agence, pas une école de formation de journalistes".

Aurélie Casse en robe dentelle noire

Malheureusement, en France, pour intégrer une rédaction de presse, il faut obligatoirement passer par des études de journalistes. "Je rêvais d’apprendre sur le terrain, de faire des reportages… Mais on m’a dit que les autodidactes, c’était fini." dit-elle à ce propos. Aurélie Casse fait donc une année au sein d'un institut de journalisme mais elle déclare à ce propos : "C’était surtout de la formation théorique, mais j’ai plus appris en quelques mois de stage à l’agence Capa que pendant une année à l’institut". Suite à sa formation de journaliste, Aurélie Casse décroche un stage au sein de la rédaction de LCI en 2010. Elle donne pleine satisfaction à son employeur et finit embauchée comme journaliste sur la chaine d'information continue.

Aurélie Casse en cuir sur LCI
"A LCI, j’ai fait ce que je faisais à Capa mais directement pour une chaine de télévision. J’étais assistante, je faisais les petites choses du métier : j’aidais les présentateurs à préparer leurs sujets, leurs interviews, à relire rapidement les textes de lancement. J’ai appris à surveiller les dépêches d’agence, à travailler dans l’urgence sans tomber dans les pièges de la rapidité, vérifier les infos, dire les choses comme il le faut. J’ai appris à trouver mon style d’écriture. Je commençais à avoir envie de faire du reportage mais je sentais que je n’étais pas encore assez préparée" déclare-t-elle à propos de sa première expérience professionnelle au sein de LCI.

Aurélie Casse sur BFM en robe cuir
Aurélie Casse en robe rougeAprès un an et demi au sein de la rédaction de LCI, Aurélie Casse s'essaie au casting pour être présentatrice à l'antenne pendant les congés. A propos de cette expérience, elle affirme : "J’ai pris ça pour un jeu, j’ai passé le casting et j’ai été choisie pour faire la présentatrice pendant une semaine". Son premier passage face à la caméra fût une réussite : "Sans aucun problème. Je me sentais bien, ultra zen pour mon premier journal. J’avais l’impression d’avoir fait mon job mais je savais que je devais m’améliorer. Il est sûr que si je regarde aujourd’hui mon premier JT, je dirais quelle catastrophe !". Laurent Dezner, alors directeur de la rédaction de LCI, déclare à propos d'Aurélie Casse : "Une fille carrée, la caboche pleine et le sens de la démerde. Elle avait une bonne diction. Une prestance, une sobriété élégante. Tout n’était pas bon mais elle dégageait quelque chose". Une grande réussite donc ! Pour Aurélie Casse, c'est le début d'une grande passion : "J’aime le hard-news, l’adrénaline de la dépêche qui peut tomber à tout moment. J’ai vite compris que ce n’était pas grave de bafouiller. L’important, c’est d’être soi".

Aurélie Casse sur LCI

Aurélie Casse retourne ensuite dans l'ombre au sein de la rédaction de LCI, sans être frustrée ni déçue : "Je n’en attendais pas plus. C’était un test, une étape dans ma carrière. Après, j’ai pris le temps de devenir crédible en tant que journaliste, de faire des sujets, des portraits de ministres par exemple, en voix off".


Puis en 2014, suite au départ d'une présentatrice, elle décroche enfin sa place de présentatrice sur la matinale du weekend : "Une présentatrice (ndlr : Erika Moulet) est partie pour aller faire de l’animation et on m’a proposé de prendre sa place. Après, j’ai fait la matinale du week-end avec Damien Givelet qui avait beaucoup d’expérience et nous faisions un duo qui fonctionnait bien. Nous, on passait un bon moment, les téléspectateurs aussi, parait-il. J’avançais dans le métier, j’ai pris mes marques et j’ai commencé à installer mon image".

Aurélie Casse et son sourire ravageur

A l'antenne, Aurélie Casse s'efforce de rester naturelle et se concentre sur son travail. D'après elle : "Il faut surtout rester soi-même au lieu d'essayer de créer une image. J'en vois plein qui forcent leur voix, leur diction, changent de posture, minaudent. Il faut être le plus naturel possible et en même temps, arriver, même quand on parle de choses graves, à ne pas surdramatiser. A la télévision, il faut prendre de l’envergure et trouver ce petit quelque chose en soi qui marque la différence avec les autres".

Aurélie Casse en tailleur roseTrès vite, Aurélie Casse se fait démarchée par d'autres chaines comme iTélé qui lui propose en 2015 un contrat pour faire des reportages, du duplex et même de la présentation de journaux. "Changer de chaine, c’est un peu comme la rentrée des classes. On ne se sent pas tout de suite dans le ton de la classe, il faut un peu de temps pour découvrir l’organisation et les gens. J’ai eu besoin de quelques semaines d’adaptation. On m’a pris pour faire d’abord du reportage, ce que je ne faisais pas avant à LCI. A iTélé, je  faisais des duplex, j’allais sur le terrain je me suis éclatée, et ça m’a conforté dans le fait que j’avais choisi le métier qui me convenait le mieux. Et puis, j’ai découvert avec le reportage que je ne veux pas m’enfermer dans la présentation. Je veux faire les deux" déclare-t-elle à propos de ce changement d'employeur.

A propos des qualités que doivent avoir les journalistes, Aurélie Casse déclare : "J’ai le sentiment que ceux qui restent ont vraiment une carrière derrière eux. Ils étaient déjà quelqu’un avant de faire de la présentation. Ceux que j’admire ont fait du reportage et du terrain. Je trouve que ça ajoute quelque chose, de la crédibilité par rapport à ceux qui ont fait de la présentation toute leur vie".

Aurélie Casse en tenue sexy

Fin 2015, Aurélie Casse rejoint BFM : "A iTélé, j’avais un contrat pour une durée déterminée et ils ne pouvaient pas me garder pour des raisons budgétaires. Je ne dis pas qu’il faut changer d’environnement professionnel tous les quatre matins, mais il faut bouger, et moi cela m’a fait grandir. A BFM TV, à partir du 14 décembre, je vais faire du reportage et de la présentation et après on verra. Pour le moment, je me laisse porter".

Aurélie Casse sur iTélé

Quelle suite pour sa carrière ? Tout porte à croire que le meilleur reste à venir même avec ses prestations remarquées et son groupe de fans qui grandit tous les jours. Mais Aurélie Casse reste très humble sur son avenir et quand on lui demande si le journal de 20 heures sur une grande chaine nationale lui tente, elle répond : "C’est le rendez-vous audiovisuel de la France tous les soirs. C’est une autre qualité d’info : on prend du recul, on traite les choses différemment. J’ai du mal à me projeter là-dedans, mais pourquoi pas dans quelques années? Je me dis aussi que j’aimerais bien dans quinze ans avoir ma propre émission. Je n’ai pas de plan de carrière avec des étapes bien déterminées. J’ai déjà réalisé mon rêve de devenir journaliste et il y a tellement de choses qu’on peut faire dans ce métier ! J’ai encore beaucoup à comprendre, à apprendre et à découvrir...".


Aurélie Casse fait partie des rares journalistes à être passée par les trois principales chaines d'information continue : LCI, iTélé (aujourd'hui CNEWS) et maintenant BFM TV. Jusqu'en septembre 2019, elle est titulaire sur la matinale Week-end Première sur la tranche 6 h - 10 h de BFM TV, en co-animation avec Stefan Etcheverry. C'est la deuxième tranche horaire la plus regardée de BFM TV, derrière la matinale en semaine Première Edition. Elle ne se voit pas faire de l'animation comme sa consoeur Erika Moulet. Mais la culture l'attire toujours et elle reste une grande amoureuse du cinéma italien. Ses idoles sont Sophia Loren et Claudia Cardinale, deux immenses actrices du septième art.

Aurélie Casse en robe rouge et blancheAurélie Casse reste très active sur le réseau social Twitter où elle poste régulièrement des images de films classiques du cinéma ou de belles photos de paysages qu'elle prend avec son téléphone. Elle ne poste par contre quasiment jamais de photos personnelles. Sur LinkedIn, son profil a plus de 500 relations et possède un lien vers un blog nommé 1H15 portraits-sans-retouche qui fait des portraits et des interviews de personnalités. Il s'agit très probablement d'un blog qu'Aurélie Casse tenait entre 2009 et 2013, lorsqu'elle était étudiante puis au début de sa carrière professionnelle. Elle déclare à ce sujet : "J’écrivais pour moi, pour ne pas renoncer. J’ai créé un blog : je faisais des interviews, des portraits. J’ai quand même réussi à interviewer Claudia Cardinale, une de mes idoles, je n’oublierai jamais ce moment".

Week-end Première avec Aurélie Casse et Stefan Etcheverry

Depuis la rentrée 2019, Aurélie Casse a remplacé Nathalie Lévy sur la tranche du soir sur BFM TV. Elle présente une nouvelle émission appelée Le Dézoom tous les soirs de la semaine à 21 heures. Une belle promotion méritée pour Aurélie Casse, désormais une des journalistes phares de la chaine d'information. C'est Perrine Storme, une autre journaliste à fort potentiel, qui succède à Aurélie Casse sur la matinale du weekend.

Aurélie Casse présente le Dézoom tous les soirs à 21 heures en semaine sur BFM

Sources

Portrait d'Aurélie Casse, future star du PAF du site Le Mauricien
Aurélie Casse, l'étoile montante par Les Inrockuptibles
Biographie sur le site Programme TV.net
Page Wikipédia sur Aurélie Casse